Dans l’article « Mandala , mine de bienfaits », nous avons évoqué les vertus du dessin centré. Lorsque nous associons cette pratique à celle du zentangle, nous en amplifions les effets.
Le mandala , cercle représentant l’Univers, traduit « réservoir d’essence » en sanskrit, vient s’enrichir d’une seconde pratique, celle de la lenteur.
Le dessin centré, espace sacré dans lequel on pourrait se perdre, se remplit de motifs structurés. Tracés linéaires, incurvés, croissants ou décroissants, répétitifs, monochromes ou polychromes.
Nous instaurons un dialogue très personnel entre ombre et lumière, Nous agissons en pleine conscience, notre mental s’apaise et chaque tracé installe toujours plus de confiance en nous-mêmes.
Le choix des motifs, la façon dont nous allons les combiner entre eux, l’utilisation de l’estompe traduisent autant de facettes de notre personnalité et ouvrent vers toujours plus de créativité.
A l’issue de ce voyage intérieur, le résultat s’impose, souvent inattendu.
Pourquoi ne pas venir en juger par vous-même!
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